| | AGRON ☮ I remember when I said, i'm nothing without you. | |
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| Sujet: AGRON ☮ I remember when I said, i'm nothing without you. Dim 19 Sep - 5:34 | |
| Siobhàn Deuxième prénom (au choix) Nom (au choix)
© LYA 21 ans ● Montréal ● Étudiante en (au choix) ● Célibataire ● Peace of mind ● Dianna Agron
Siobhàn a grandi dans le quartier d'Hochelaga-Maisonneuve avec sa mère. La jeune fille n'a jamais connu son père, mais le manquement paternel n'a jamais semblé l'affecter. Elle en venait même à penser que sa vie aurait pu être encore plus chiante s'il avait été dans les parages. Sa mère travaillait comme serveuse dans un casse-croûte au coin de la rue. Elle fumait comme une cheminée et se droguait souvent, alors je vous laisse devinez où pouvait bien atterrir tout son salaire. Siobhàn a donc appris à se débrouiller seule très tôt. Dotée d'une intelligence incroyable - et on se demande toute d'où elle peut provenir, puisque sa mère est une vraie mule - elle a toujours voulu entrer à l'université, mais elle n'a jamais réussi à économiser l'argent nécessaire pour pouvoir y accéder. C'est à ce moment que Jude est arrivé avec une autre de ses idées débiles : il a incité Siobhàn à entrer dans un gang de rue, lui disant qu'en vendant de la drogue, ils pourraient tous les deux s'amasser un max de fric et qu'avec tout cet argent, elle pourrait peut-être enfin se permettre d'aller à l'Université dans quelques années. Il faut croire qu'ils étaient tous les deux vraiment désespérés. Au début très réticente, elle a fini par accepter, puisque son meilleur ami avait décidé d'y entrer tout de même sans elle et la jeune femme ne pouvait concevoir de le laisser se lancer dans quelque chose d'aussi dangereux sans elle. Après tout, il fallait bien qu'elle s'assure qu'il n'ait pas trop loin avec cette gang de débile ! Quelques années plus tard, alors que la bande se trouvait tous rassemblée dans un bar, des membres d'un gang rivaux sont entrés en masse et ont commencés à faire un vrai ravage. C'était un règlement de compte, il n'y avait aucun doute. Jude avait alors entraîné Obhan vers la sortie, en lui criant de partir se réfugier quelque part. Hélas, les coups de feu et la bataille s'était jusqu'à l'extérieur et après un certain temps, ils la trouvèrent cachée sous un énorme bac de vidange. Il y a eu 3 coups de feu avant qu'elle ne s'éteigne complètement. Jude qui était en plein centre de la bagarre, ne put malheureusement arriver à temps pour la sauver. Elle avait 17 ans.
Côté caractère, Siobhàn a toujours été une fille déterminée, qui savait parfaitement ce qu'elle voulait et qui faisait habituellement tout en son pouvoir pour l'obtenir. Par contre, elle avait toujours cette manie de ce renfermer constamment sur elle-même, préférant croire qu'elle était la seule à être apte à comprendre le plus le sens de ses propres sentiments. C'était une fille avec un sens de l'humour débordant, toujours positive et d'humeur à la fête. Elle aimait la vie. Son dynamiste et son enthousiasme nous permettait très bien d'oublier parfois la vie de merde qu'était la nôtre. Elle était incroyable, tout simplement. La façon qu'elle avait de nous regarder et de sourire nous donnait vraiment l'impression d'être quelqu'un. Quelqu'un d'important et de vrai,...pas comme les connards de la rue que nous étions réellement.
- Spoiler:
Judy! Juuuuuudy ! Allez debout ! S’écria-t-elle tout en sautant sur mon lit comme une vraie dingue. Eh oui, Siobhàn avait encore eu la brillante idée de venir me réveiller - dans mon propre lit - un dimanche matin. Il devait être quel heure là ? .....8 heures ? 8 heures 30 peut-être ? Bref, beaucoup trop tôt pour un mec qui avait bu comme un dingue la veille. Je grognais. Je marmonnais des mots incompréhensifs. Je couvrais ma tête de mon oreiller. Pourtant, toutes ces solutions semblaient inefficaces. Elle s’acharnait vraiment. If I could turn back time, If I could find a way, I'd take back those words that hurt you, And you'd stay ! [...] Suuuuuuper. En plus de sauter sur mon lit comme une folle sortie de l’asile, ma déjanté de meilleure amie s’amusait maintenant à pousser la chansonnette. Depuis un certain temps, elle avait une vraie fixation sur Cher. Je ne comprenais vraiment pas ce que tout le monde lui trouvait à elle. Elle semble 100 fois plus débile que les chanteuses pop l’ayant précédé et en plus, elle était hyper vieille. Maintenant complètement réveillé, je sortis la tête de sous mon oreiller en fixant Siobhàn d’un air vaincu....et fatigué. Bon d’accord, d’accord. J’suis réveillé là, t’es contente ? Elle me lança un sourire victorieux avant de se laisser tomber sur le lit, à mes côtés. Merde, il était temps ! Ça commençait à être chiant de chanter tout seul. Obha, tu chantes toujours seule. Vraiment ? Bah oui ! Baaaaah non ! Tu fais toujours des Freestyles débiles. Débile ? C’est ta maudite musique pop qui est débile ! Elle me balança l’oreiller en plein visage avant d’éclater de rire. Quoique je dise ou je fasse, cette fille arrivait toujours à avoir le dernier mot. Tu gagnes. Évidemment ! C’était comme ça pratiquement chaque matin,....sauf qu’habituellement, elle ne venait pas aussi tôt. Siobhàn habitait juste à côté de chez moi, dans le même bloc appartement. Étant voisins, on s’est connus très jeune et nous avons toujours fréquentés les mêmes écoles. Aussi loin que je me souvienne, on s’est pas lâchés d’une semelle ! Elle rentre toujours chez moi comme ci elle était chez elle. Évidemment, elle regarde toujours si mon père est endormi avant d’entrée. De toute manière, mon père boit tellement le soir que le matin il reste dans son état comateux jusqu’en fin d’après-midi. Alors l‘avant-midi c’est chez moi et l’après-midi, chez elle. Pourquoi t’es venu si tôt ? J’sais pas. J’étais pas fatiguée et j’avais rien à faire. Hum. Alors, tu nous as trouvé un emploi ? Quoi ? Un emploi ! T’avais dit que t’allais nous en trouver un. Ah oui, c’est vrai. Eh bien figure toi que j’ai trouvé beaucoup mieux. Ah oui ? Ouais. J’ai parler à Mike et il peut nous faire entrer dans le gang. C’est génial, hein ? T’es pas sérieux ? C’est un gang de débile ! Ils terrorisent le quartier au grand complet et il paraît qu’ils vendent plein de drogues. Justement, Obha ! Si on fait partie du gang, on est sûr de ne pas se faire emmerder ! Et pour la drogue, Mike m’a dit que c’était énorme comment il pouvait se faire du fric en vendant un peu de dope. C’est même mieux qu’un vrai boulot ! J’suis pas certaine que ce soit une très bonne idée. Merde, Ob' ! On a pas le choix ! Nos parents c’est des vrais merdes,....ils arrivent même pas à payer le loyer au complet. Si nous on le fait pas, qui va le faire, hum ? Tu veux te retrouver à la rue avec ta cinglé de mère ? Non, mais... Bon tu vois. On a pas le choix. De toute façon, j’connais plein de monde qui en font parti et ils ne semblaient pas s’en plaindre. J’suis pas d’accord. Elle se leva et vint se placer dos à moi, les bras croisés, le visage appuyé contre la fenêtre. Décidément, mon idée ne semblait pas lui plaire. Étrangement, je m’en fichais complètement. Moi, j’avais besoin de ce fric et que ça lui plaise ou non, j’allais faire en sorte de ne plus jamais en manquer. Je t’oblige pas d’y entrer avec moi. C’est juste que....moi j’ai vraiment besoin de cet argent. Mon père dépense tout son fric dans l’alcool. J’ai pas l’choix. Faut que j’aide un peu mon père à payer le loyer et....il faut que je m’aide moi. À survivre. Tu comprends ? Elle soupira avant de revenir s’assoir prêt de moi. Elle me lança un de ses regards espiègles avant d’appuyer sa tête contre mon épaule. Bon d’accord, j’embarque ! Mais c’est seulement pour te garder à l’œil. Il faut bien que quelqu’un s’assure que tu ne fasses pas trop de conneries ! Je souris avant d’appuyer à mon tour ma tête contre la sienne, soulagé. Tu sais que tu es la meilleure amie du monde ? Oui, je sais. Hey...cette fois ci, c’est moi qui ai gagné. ....Mais putain, t’as raison ! Tu vois, fallait bien que tu perds un jour. Tu vas finir en enfer, Judy. Ouais, ...je sais.
Avant
Avant la mort de Siobhàn, ils étaient tous les deux de vrais inséparables. Ayant toujours vécu dans le même bloc appartement depuis leur naissance, ils se connaissaient depuis leur plus jeune âge et avaient littéralement grandit ensemble. Il n'était pas rare de les voir se soutenir dans les moments les plus difficiles, car on savait bien que la vie dans ce quartier n'était pas très rose. Leur appartement était côte-à-côte et heureusement pour eux, leur chambre était collée l'une contre l'autre. Les murs n'étaient tellement pas insonorisé qu'une fois couché, ils pouvaient continuer à se parler durant des heures au travers du mur. Il y avait aussi cette trappe, caché derrière la commode de Jude qui lui permettait de traverser directement dans la chambre de sa meilleure amie. Tous les deux l'avaient fabriqués étant gamin, puisque le jeune homme cherchait constamment à entrer chez son elle lorsque son père, bourré d'alcool, commençait à devenir complètement dingue. Après l'enfance vain l'adolescence, un pur moment de calvaire puisque l'innocence de la jeunesse s'estompe peu à peu et nous permet de réaliser à quel point nous sommes dans la merde, nous,...les dépendants du petit chèque que nous fournis, à chaque début de mois, le gouvernement. Il y a aussi les hormones qui embarquent, surtout chez les mecs. Les mecs comme Jude, qui commençait étrangement à adorer le nouveau corps de sa meilleure amie. Pour les adolescentes, c'est différent. Elles rêvent toutes du garçon parfait ; le prince charmant qu'elles attendent toutes impatiemment, naïvement. Peut-être que Siobhàn voyait en Jude le prince idéal ? Après un temps, ils ont fini par entrer tous les deux entrées dans un gang de rue en passant stupidement améliorer leur cas. Ils étaient à la recherche de l'argent qu'ils n'avaient jamais eu, sans doute. Jude, contrairement à Siobhàn, semblait apprécier le fait d'être associé à des gens non-fréquentables. Ils sortaient souvent des nuits durant et parfois il ne revenait que quelques jours plus tard. Même s'il ne lui disait pas, la jeune femme savait très bien qu'il faisait autre chose que de vendre de la drogue. Elle s'inquiétait et posait beaucoup trop de questions, ce qui commençait drôlement à énerver Jude, qui jurait constamment faire tout ça que pour leur bien à tous les deux. Ils couchaient avec un tas de filles (de vraies garce, selon Siobhàn), pour impressionner les mecs idiots avec qui il traînait. Le plus stupide dans tout ça, c'est que même si Jude se permettait d'aller allonger sa liste de conquête dès qu'il en avait envie, lorsqu'un mec s'approchait de Siobhàn, c'était la bagarre assurée. Allez comprendre ! Bref, lorsqu'elle est morte dans la fusillade du quartier, Jude ne s'en est jamais remis. La culpabilité le rongeait et il se disait qu'il aurait pu faire mieux, qu'elle méritait mieux...et qu'il aurait pu l'éloigner de tout ça avant qu'il ne soit trop tard. Il avait tout gâché et malheureusement pour lui, il compris que c’était toujours en perdant la personne qui nous était proche qu’on se rendait compte, à ce moment, à qu’elle point on l’aimait...
Aujourd'hui
C’était vraiment étrange de me voir déambuler ainsi dans les corridors de l’université de Montréal, moi qui n’avais jamais aimé l’école. En fait, je crois que je n’ai jamais aimé l’école parce que je savais parfaitement bien que je ne pourrais jamais faire d’études supérieurs. Alors pour moi, ça ne servait à rien. J’étais donc ici aujourd’hui pour prendre des clichés des équipes sportives de l’université, car oui,...j’étais photographe. Mais bon, je ne servais qu’à prendre des photos aussi inutiles les unes que les autres pour un journal local que personne ne prenait la peine de lire. Le type de journal qu’il donne gratuit dans les métros. En plus, j’avais un salaire de merde, mais je me disais -ou plutôt j’espèrais- que ce boulot m’apporterais assez d’expérience un jour pour être engagé par un autre journal plus en vue. Je tournais donc en rond dans tous ces putains de corridors depuis vingt longues minutes, en essayant en vain de trouver mon chemin vers les gymnases. En empruntant un nouveau corridor, je fis la rencontre la plus étonnante de toute ma chienne de vie. Tellement étonnante que j’en échappa ma caméra par terre, qui s’éparpilla sur le sol en plusieurs morceaux. Eh oui, cette même caméra qui valait pratiquement plus chère que mon logement. Mon patron allait littéralement m’assassiner, mais à cette instant précis, je m’en foutais complètement. La fille qui avait retenu tant mon attention ralentit alors sa marche en voyant ma caméra en morceaux étaler en plein centre du couloir. Celle-ci déposa ses nombreux cartables sur le sol afin de récupérer du mieux qu’elle le pouvait les morceaux étalés devant moi. Eh merde, ta caméra ! On sait jamais, peut-être que si tu connais un bon réparateur ça pourrait s’arranger. Est-ce que ça va ? Je sais pas comment tu fais pour rester aussi calme ! Dit-elle, les mains pleines de morceaux venant tout droit de ma caméra, en levant le regard vers moi. Moi, comme un parfait imbécile, j’étais complètement figé. Ça ne pouvait pas être réelle ! Non,...ça ne pouvait pas être elle. Elle était MORTE, bon sang ! Ma gorge était nouée et sincèrement, je ne savais pas du tout comment réagir. Je ne m’étais jamais imaginé ce scénario dans la tête. Après tout, c’était impossible ! Pourtant, ça faisait déjà un baille que je n’avais pas fumé d’hallucinogènes. Si...Sio...Siobhàn ? Obhan ? Putain, c’est....c’est toi ? La jeune fille éclata de rire avant de se relever. Elle se moquait de moi sûrement, car il est vrai que j’avais l’air totalement perdu. Eum, oui, aux dernières nouvelles, c’est moi. On se connaît ? Bon, voilà que je m’étais mis à trembler. Il ne manquait plus que ça ! Mes mains tremblaient comme pas possible tandis que je reculais de quelque pas, complètement sous le choc. Obhan, maintenant complètement abasourdi par mon comportement, s’empressa de déposer ses mains sur les miennes afin d’essayer d’empêcher les tremblements. À son contact, un frisson se propagea dans mon corps tout entier. Wah,...ça faisait tellement longtemps que je n'avais pas ressenti quelque chose du genre. Le contact de Siobhàn.Mon dieu, tu trembles comme une feuille ! T’es sûr que ça va ? Je peux appeler l’infirmière si tu veux. Elle était inquiète. Bon dieu, cette inquiétude, je la connaissais trop. Se regard,....ça ne pouvait être qu’elle. Il n’y avait aucun doute. Mais comment était-ce possible ? Et pourquoi ne semblait-elle pas se souvenir de moi ? MOI, Jude, son meilleur ami ! Le gamin qui a grandit avec elle,...qui a toujours vécu avec elle ! J’avais envie de pleurer comme un gamin en la serrant comme un dingue dans mes bras. J’avais envie de lui dire à quel point je l’aimais et Ô combien elle m’avait manquée durant ces six dernières années. Je l'aimais, oui, comme un dingue,...et j'avais tellement envie de lui dire que j'avais été un vrai con en lui cachant depuis toutes ses années, en la traitant comme un imbécile et en l'abandonnant durant des jours pour amasser du foutu fric avec cette gang de merde. J'avais couché avec un tas de filles et tout ça dans l'espoir d'essayer de l'oublier, car je trouvais cette attirante ridicule envers la fille qui avait été mon amie depuis l'enfance. Le problème maintenant, c’était que pour une raison que j’ignorais et qui me mettais hors de moi, Obhan ne me reconnaissait pas. Et si j’avais une minime chance de la ravoir à mes côtés, je ne devais absolument pas gâcher cette miraculeuse opportunité en la faisant fuir de peur. J’allais devoir commencer au tout début de l’échelle, comme simple connaissance, du moins, mais je vous jure, elle va finir par se rappeler de moi un de ces jours, car croyez-moi, Jude Anakynn Montaigne n’est pas un mec qu’on oublie facilement, je vous l’dis ! Non, non, ça va, j’te remercie. Pauvre toi, mais tu pleures là ! Effectivement, des larmes avaient coulées sur mes joues sans même que je m'en rendre compte. Moi ? pffff...pas du tout. C'est des allergies. Je suis allergique au...euh...pollen. Celle des fleurs, tu vois ? Eh merde. En ayant l’air d’une mauviette et d'un parfait idiot, ça augurait mal.
Dernière édition par Jude Atlance Montaigne le Lun 20 Sep - 4:04, édité 5 fois |
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| Sujet: Re: AGRON ☮ I remember when I said, i'm nothing without you. Dim 19 Sep - 16:25 | |
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| Sujet: Re: AGRON ☮ I remember when I said, i'm nothing without you. Dim 19 Sep - 16:37 | |
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| Sujet: Re: AGRON ☮ I remember when I said, i'm nothing without you. Dim 19 Sep - 17:35 | |
| OH MAIS C'HORRIBLE :O elle se souvient plus de rien ? mais c'est affreux, mais pourtant... elle était bien leur petite relation meilleurs amis limite frère et soeur |
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| Sujet: Re: AGRON ☮ I remember when I said, i'm nothing without you. Dim 19 Sep - 18:23 | |
| JE SAIS ! Disons que le fait d'être "ramener à la vie" lui a fait perdre plusieurs fragments de son passé. Après tout, revenir sur terre est censé être un nouveau départ. Mais t'inquiète, Jude fera tout en son pouvoir pour qu'elle se souvienne,...et un jour, elle se souviendra forcément. |
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| Sujet: Re: AGRON ☮ I remember when I said, i'm nothing without you. Lun 20 Sep - 4:12 | |
| P*TAIN j'adore le début de ta fiche C'EST GÉNIAAAAL & bon, moi j'ai ENFIN terminé le scéna. =DIl y a juste quelques détails qui te reste à sa voir : - Il s'est fait tatouer son nom en prison, en sa mémoire et au cas où il viendrait à l'oublier en jour, ce qui était quand même peut probable. - Il possède des photos d'eux ensemble, dont certaines lorsqu'ils étaient gamins, dans le fond de son porte-feuille, et il compte s'en servir un jour pour l'aider à se rappeler qui elle est réellement. À moins qu'elle les découvre d'elle-même avant... - Il se sent encore responsable de sa mort, alors il a peur qu'elle se rappelle du jour de sa mort et qu'elle lui en veuille, car après tout, s'il ne l'avait pas incité à rejoindre le gang, tout ça ne se serait jamais produis. Voilà, je crois que c'est tout. |
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